Poème: GICLE, SOLEIL
- VDYB
- 26 juin 2020
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 5 juil. 2020

GICLE, SOLEIL
Le creux restera creux
La faune restera faune
Et le soleil n'arrêtera pas de chanter
Lumière par delà le firmament
Souris, oiseau, la fleur ne se brise jamais
Elle perd juste, soit sa flamme, soit son parfum ou ses pétales
Sur le front d'un SDF, ne cherche pas à lire l'amertume d'un roi sans paix
Regarde par dessus les étoiles,
L'amour ressemble à l'amour
Le vide ressemble au vide
Dans les narines des jours sombres
Coulent des fragments d'océan
Que les cris fauves ont brisé
Dans ta bouche,
La vie ressemble à un rien brisé à mille morceaux
Tel un fragment d'oxygène qui s'infirme entre les bras de la force intense qui coule de la vallée
Le creux restera creux
La faune restera faune
Et la pluie n'arrêtera pas de pleurer
Youssef Branh creux restera creux
La faune restera faune
Et le soleil n'arrêtera pas de chanter
Lumière par delà le firmament
Souris, oiseau, la fleur ne se brise jamais
Elle perd juste, soit sa flamme, soit son parfum ou ses pétales
Sur le front d'un SDF, ne cherche pas à lire l'amertume d'un roi sans paix
Regarde par dessus les étoiles,
L'amour ressemble à l'amour
Le vide ressemble au vide
Dans les narines des jours sombres
Coulent des fragments d'océan
Que les cris fauves ont brisé
Dans ta bouche,
La vie ressemble à un rien brisé à mille morceaux
Tel un fragment d'oxygène qui s'infirme entre les bras de la force intense qui coule de la vallée
Le creux restera creux
La faune restera faune
Et la pluie n'arrêtera pas de pleurer
Kinshasa, 29 mai 2020
Youssef Branh
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